Horizontalement
- Nom picard de la commune. On peut le lire aux pancartes d'entrée du village.
- Nom du saint auquel est dédié l'église paroissiale (nom composé).
- Artiste-peintre de renommée internationale. L'une de ses toiles représente un moulin de Pierregot.
- (Adrien). Magister de l'école communale dans les années 1930, il deviendra maire de Raincheval quelques années plus tard.
- Non donné aux extrémités des pièces en bois formant une charpente. Ceux de la chapelle locale sont joliment sculptés.
- Nom du dernier moulin du village à avoir produit de la farine. Son exploitation cessa en 1923.
- (Jean). Il vécut toute sa vie dans le village. En 1944, avec deux camarades, il entreprit de réouvrir le souterrain aménagé fermé depuis bien longtemps pour que la population locale s'y abrite lors des bombardements.
- Prénommé Jean, il fut maire de la commune dans les années 1970.
- (Dany). Ce peintre-sculpteur a longtemps habité la commune à laquelle il offrit, en l'an 2000, une oeuvre d'art de plusieurs tonnes, toujours visible sur la place. Il confectionna aussi le coudrier en métal pour les 20 ans de notre association, désormais scellé devant l'église de Rainneville.
- Industrie qui permit à des générations d'habitants du village d'avoir un emploi en exploitant une ressource locale.
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Verticalement
- Non donné aux habitants du village.
- Nom du moulin dont on peut encore voir la tour en grès aujourd'hui.
- Prénommé Oswald, ce peintre nous a laissé une aquarelle confectionnée en juin 1877 représentant la chapelle locale.
- Croix de pierre portant la date de 1694 qui était érigée sur le territoire. Elle fut dérobée quelques jours après sa remise en état dans les années 1970 !
- Joël de son prénom. Ce clown de profession et artiste polyvalent habite la commune depuis 1990.
- Prénommé Jean, ce marchand de grès taillés fut l'un des principaux fournisseurs de matière première pour la construction d'une des trois grandes entrées d'Amiens (la porte Montrescu) au XIVe siècle.
- Nom ancien du métier de "tisserand". Cette profession était répandue dans la commune au XIXe siècle. On travailla beaucoup la laine, le chanvre et le lin jusqu'en 1850.
- Nicolas de son prénom. Ce gressier local fournit au XVIIIe siècle les six bornes posées à côté des deux portes de l'Hôtel de Ville d'Amiens.
- Nom donné à la chapelle locale, visible depuis la route Amiens / Pas-en-Artois, en référence à l'invocation du Salve Regina (nom composé).
- Grande dynastie de meuniers locaux.
- Ce textile permit, à la fin du XIXe siècle, à certains habitants de Pierregot d'avoir un emploi. En effet, on comptait trente coupeurs à domicile de ce tissu dans le village en 1899.
- Objet antique dont on retrouva plusieurs exemplaires à 6m de profondeur, en 1884, lors de la construction de la route Pierregot-Rubempré.
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